Dans un bain lumineux immersif, sous le scintillement de boules à facettes, les corps tendus de quatre danseurs déploient jusqu’à l’épuisement un lexique gestuel inspiré de manifestations politiques et de discours de prédicatrices américaines.
Le corps peut-il haranguer ? Alban Richard – directeur du CCN de Caen, venu en 2017 à la Maison de la Musique avec Pléiades, travaille une écriture méticuleuse alliant chorégraphie, musique et lumière. Il confie à Arnaud Rebotini, César 2018 pour la BO du film 120 Battements par minute, une symphonie techno pour synthés analogiques.
Les rythmes et fréquences, autant que la ferveur, exaltent la puissance que recèle l’éloquence des corps.
Conception, chorégraphie Alban Richard
Musique originale et interprétation live Arnaud Rebotini
Créé et interprété par Aina Alegre, Mélanie Cholet, Max Fossati, Asha Thomas
Assistante chorégraphique Daphné Mauger
Conseillère en analyse fonctionnelle du corps dans le mouvement dansé Nathalie Schulmann
Remerciements à Catherine Dénécy et Benjamin Furbacco
Production déléguée centre chorégraphique national de Caen en Normandie
Coproduction Chaillot – Théâtre national de la Danse, manège scène nationale-reims, Opéra de Rouen Normandie
Résidence de création Le Cargö, scène de musiques actuelles, Caen
Aide à la résidence Théâtre d’Arles, scène conventionnée d’intérêt national art et création - Pôle régional de développement culturel, Théâtre Louis Aragon, scène conventionnée d’intérêt national art et création - danse de Tremblay-en-France
Le centre chorégraphique national de Caen en Normandie est subventionné par le ministère de la Culture – DRAC de Normandie, la région Normandie, la ville de Caen, le département du Calvados, le département de la Manche et le département de l’Orne.
Il reçoit le soutien de l’Institut Français, l’ONDA et l’ODIA Normandie pour ses projets internationaux.
Le 18 avril 2019 à 20h30
de 5 à 24 €
Alban Richard invite le dandy de l’électro Arnaud Rebotini. En direct sur scène, il crée une symphonie dont les mouvements scandent l’éloquence des corps. Haut-parleurs et stroboscopes exaltent la ferveur des danseurs dans une pièce chorégraphique, musicale et lumineuse. Le corps discourt-il ?
Cookies de performance et de mesure d'audience
Nous recourons aux cookies de performance et de mesure d'audience pour analyser la manière dont vous utilisez le Site web.
Nous conservons votre choix pendant 13 mois