Le kintsugi, c’est la réparation des céramiques avec de la laque saupoudrée d’or, l’art japonais de sublimer les choses brisées.
Kintsugi, le spectacle, c’est une intense façon de réparer notre époque en morceaux. Des vidéos électriques, le fracas de trois talents hors-norme et sans frontières : le violoncelliste passe-muraille Gaspar Claus, le guitariste des orages électriques Serge Teyssot-Gay, et la Japonaise Kakushin Nishihara, qui chante les épopées d’outre-tombe et joue du biwa – sorte de luth infernal – comme un samouraï manie le katana.
Au bord de l’outremonde
Musique des accidents d’une civilisation, punk millénaire, no future des fantômes… Kintsugi sonne comme une alerte de réacteur nucléaire, une révolte de ville bombardée – mais derrière la violence des émotions, il y a la promesse du soleil levant dans l’air pur de la montagne.
En raison de la configuration de la salle et du spectacle, les retardaires ne seront pas admis.
Kakushin Nishihara chant et biwa
Serge Teyssot-Gay guitare
Gaspar Claus violoncelle
Le 30 mars 2018 à 20h30
de 5 à 14 €
La collision inouïe entre la guitare électrique de Serge Teyssot-Gay, le violoncelle de Gaspar Claus et l’art indescriptible de la Japonaise Kakushin Nishihara, virtuose du biwa et chanteuse chamanique
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